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Bonaire, c’est le soleil et le vent. Les alizés du nord-est soufflent en permanence. De ce fait, les parties basses de l’île sont naturellement arrosées d’eau de mer qui s’évapore. Il y a donc des marais salants et des prés salés. Les Hollandais y ont vu une possibilité d’exploiter le sel, et ils se sont installés dans plusieurs parties de l’île pour cette activité lucrative.

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De nos jours, cette activité existe toujours. Le vent sert à pousser l’eau hypersaline d’un bassin à l’autre, vers des concentrations en sel de plus en plus concentrées. Différentes algues s’y développent, donnant parfois une couleur étonnante à l’eau.

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Mécanisée aujourd’hui, à l’époque c’était le travail des esclaves. Ils étaient logés dans des petites maisons qui font la joie des touristes aujourd’hui parce que photogéniques, mais qui ne sont en réalité que de grandes niches de chiens dans lesquelles ils étaient entassés dans des conditions insalubres et inhumaines.

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L’obélisque en arrière-plan était une balise pour les navigateurs. Il y en avait quatre, situés à des endroits différents : rouge, blanc, bleu et orange – les couleurs nationales des Pays-Bas !

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Ce domaine lagunaire est également le domaine des oiseaux.

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Le côté sud-ouest de l’île est abrité des alizés. C’est là que nous faisons nos plongées. Le côté nord-est, en revanche, exposé au vent est trop dangereux pour notre activité. On (des touristes ?) ont construits des cairns un peu partout.

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Aux endroits propices, on pratique le kitesurf ou la planche à voile.

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Nous avons profité pour faire quelques photos aériennes à l’aide d’un cerf-volant. Voici le phare Willemstoren à la pointe sud de l’île.

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